Employeur et salarié peuvent contester la rupture conventionnelle devant le conseil de prud’hommes.
La validité de la rupture, ainsi que son homologation, peuvent être remises en cause devant le conseil de prud’hommes dans les 12 mois suivant la date d’homologation de la Dreets. Sachant que seuls le vice du consentement (dol, contrainte...) et la fraude peuvent remettre en cause la validé de la rupture conventionnelle.
Toute clause insérée dans la convention visant à renoncer à la possibilité de contester la rupture est réputée non écrite. Passé ce délai d’un an, le divorce est définitivement consommé entre l’employeur et le salarié !
Publié le jeudi 20 avril 2023 - © Copyright Les Echos Publishing - 2023